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Endo-k est le fruit de 12 ans de souffrances. Une application dédiée au suivi et à l’accompagnement des femmes qui sont atteintes du syndrome des ovaires polykystiques et de l’endométriose.
L’idée est de proposer un service qui aide et accompagne les jeunes femmes qui cherchent des solutions alternatives à la pilule ou un traitement médicamenteux.
À l’age de 13 ans, l’âge des premières règles, je découvre un monde inconnu. Pendant toutes mes années collèges, lycée et universitaire, j’ai eu différents symptômes, problèmes avec mes règles.
Je ne savais pas ce qui se passait, mais les professionnels que j’allais voir me disaient que ce n’était rien. « Prends la pilule et tout ira bien. »
J’ai commencé à suivre mes cycles irréguliers avec des applications pour pouvoir avoir des éléments à apporter lors de consultation.
j’ai du voir 5/6 gynécologues différents pendant mon adolescence.
Pour certains, c’est peu, pour d’autres beaucoup. Tous se sont accordé à dire que j’avais un petit dérèglement hormonal. En somme, ils minimisaient ma souffrance.
En 2020 je décide une énième fois d’aller consulter un professionnel. Sur les conseils d’une amie, je vais voir une femme dans un centre spécialisé.
C’est là que le diagnostic est posé. J’ai le syndrome des ovaires polykystiques.
On me propose une solution, faire du sport, changer d’alimentation ou d’aller plus tard voir un endocrinologue pour prendre un possible traitement, mais il n’y a aucune solution pour guérir de cette maladie. Du moins c’est ce que le spécialiste me dit.
J’ai continué à suivre mes cycles et symptômes avec des applications, mais je me suis vite retrouvé fasse à une impasse.
Après 2 ans de plus passé sur ces applications, je me rends compte que ce n’est pas du tout adapté. Il n’y a pas trop d’information. Un article par-ici, par-là, sans plus. Je me retrouve un peu perdu avec ce que j’ai. C’est à ce moment-là que je viens l’idée de créer l’application Endo-K. Un service qui propose de suivre les cycles qu’ils soient irréguliers ou non, tous les symptômes rencontrés et d’apporter des conseils pour mieux vivre la maladie au quotidien. Dans un autre temps, aider les femmes à trouver le bon médecin pour les accompagner et faire avancer la recherche sur ces maladies qui touchent plus de 10% de la population française.